“Jérémy nous apprend à comprendre notre corps.
Il nous éduque.
Il n’est pas là pour me dire : 'mange ça, fait tel exercice, mange que tant de calories, refait tel exercice…'
Il m’explique comment fonctionne mon corps, il m’aide à l’analyser et à le comprendre.
Si j’avais fait une chirurgie, je n’aurais pas appris à manger.”
Je vais t’expliquer, avec l’aide d’Audrey, comment tu peux perdre 60 kilos sans passer par la chirurgie en ayant les bonnes informations et l’accompagnement que tu mérites.
Je ne vais pas te dire que ce sera rapide et facile, parce que ce serait mentir.
Mais je peux te garantir une chose, ce sera respectueux de ton corps et de tes objectifs.
Et puis, est-ce plus facile pour toi aujourd’hui ce que tu vis ?
Honte, douleurs, sentiment permanent de ne pas être à sa place… comme le dit Audrey :
“Certaines expériences toutes banales te rappellent que tu es obèse.”
Dans le train quand tu débordes de ta place et que tu passes 4h penchée sur le côté pour gêner le moins possible ton voisin.
Dans la voiture, quand le volant touche ton ventre.
Dans une fête foraine, quand tu as peur de ne pas rentrer dans le manège, car tu es trop grosse…
Aujourd’hui Audrey se demande « mais qui est cette femme obèse ? » lorsqu’elle regarde les photos d’elle, avant ses entraînements de musculation.
Je te propose de découvrir son témoignage et l’accompagnement sportif et nutritionnel que j’ai construit pour qu’elle atteigne son objectif de perdre 60 kilos !
Comment Audrey a vécu sa perte de 60 kilos ?
« Je m’appelle Audrey, j’ai 36 ans.
Je suis prof de gymnastique rythmique depuis que j’ai 15 ans.
Aujourd’hui je suis aussi responsable technique nationale d’une nouvelle discipline sportive que l’on développe en France depuis 5 ans : “la gymnastique esthétique de groupe”
Avec cette nouvelle discipline j’ai la chance de pouvoir emmener mes gymnastes faire des compétitions internationales telles que les championnats du monde, ou Worldcup.
Je côtoie le haut niveau du milieu sportif.
Un rêve pour tout compétiteur.
Mais quand je vois ces photos, 2 émotions m’envahissent : la fierté et la honte.
Oui la fierté, car je suis fière de porter ce jogging “France”, fière de mes gymnastes, de leur ténacité, de leur travail.
Mais j’ai aussi honte, honte de moi, du corps que j’ai qui ne correspond pas à la personne que je suis.
Honte de me montrer comme ça à côté de ces entraîneurs talentueux.
Mais que faire ?
Comment j’ai fait pour perdre tous ces kilos ?
C’est la question que l’on me pose le plus souvent…
Toutes les personnes qui viennent me voir me disent :
“mais comment est-ce possible ? Tu as dû faire une chirurgie bariatrique (sleeve ou bypass) ? ”
Je vous le dis c’est possible !
Quand j’ai rencontré Jérémy, il m’a demandé si je faisais du sport.
J’avais tout arrêté…
Il m’a donc orienté vers sa spécialité : la musculation pour femme.
La musculation au poids de corps au début m’a permis de reprendre confiance en moi et de retrouver ses sensations de sportive que j’avais avant.
Le plus important c’était que je prenne du plaisir.
Plus je progressais en musculation, plus je voulais en faire.
Et ce qui est bien en musculation c’est que l’on peut facilement mesurer la progression contrairement à certains sports comme la danse.
Je vous laisse découvrir plus loin le programme qu’il a mis en place pour me permettre d’atteindre ses résultats !
80 % d’une perte de poids passe par l’alimentation !
Jérémy nous apprend à gérer notre alimentation pas sur une journée, mais sur une semaine ce qui te permet d’avoir des moments plaisirs et pour moi c’est ça la longévité d’un rééquilibrage alimentaire, voire une nouvelle manière de manger.
Je comprends mieux mon corps et son fonctionnement maintenant.
Le sport est là pour augmenter son métabolisme, mais comme dirait Jérémy c’est aussi pour nous construire un physique.
Si tu fais du sport, mais que tu manges mal tu ne perdras pas de poids…
On ne se rend pas compte des calories que l’on ingère.
Un petit gâteau par ci, un autre par la…
Et c’est le dépassement de nos calories journalières sans même en avoir conscience.
Pourtant, je ne pense pas faire des sacrifices ou avoir des contraintes.
C’est ce que j’ai entendu plusieurs fois ça en racontant la méthode de Jérémy.
Oui je pèse mes aliments à tous les repas afin de compter les calories, oui je rentre chaque aliment qui rentre dans ma bouche dans une application qui compte ces mêmes calories.
Ce serait mentir de dire que ça ne me prend pas du temps.
Quand je suis chez moi ça doit rajouter à tout casser 2 minutes par repas, car j’ai mes habitudes.
On me demande aussi souvent combien de séances de sport je fais par semaine.
Hé bien j’en fais 4 à 6, cela dépend.
4 séances de musculation et 1 ou 2 séances de Hiit en fonction de mes envies et disponibilités.
Quand j’ai commencé avec Jérémy, il m’a demandé combien de séances j’étais capable d’effectuer dans la semaine, en fonction de mon emploi du temps.
Nous nous sommes donc mis d’accord en fonction de moi et non un planning prédéfini !
Et ce planning change et évolue en fonction de moi.
Si je ne peux plus faire autant de sport, il adapte. Mais le sport pour ma part reste une de mes priorités.
J’ai décidé que ma priorité c’était moi maintenant, et plus les autres.
Cela ne veut pas dire que je n’aime pas les autres, mais que je ne les ferai plus passer en numéro 1 dans ma vie.
Le numéro 1 c’est moi !
Donc je m’autorise à laisser une place au sport et donc à moi dans cette nouvelle vie ! »
Quel programme pour une perte de poids extrême ?
Je ne le rappellerai jamais assez, mais pour perdre du gras, il n’y a pas de hack magique ou de raccourci secret.
La solution tient en 2 mots : déficit calorique.
Le sport (et la musculation en particulier) vient ensuite t’aider à augmenter ta dépense calorique quotidienne et surtout à sculpter le corps que tu désires habiter.
Un déficit énergétique important, mais contrôlé
En nutrition, plus une personne a un pourcentage de masse graisseuse élevé, plus elle va avoir une sensation de satiété rapide.
Et ça, c’est une bonne nouvelle, car il est possible de faire un déficit énergétique important (mais pas n’importe comment).
Je n’allais pas non plus lui couper les vivres, mais l’idée était de commencer fort !
Audrey était ultra-motivée et je me suis dit « mettons à profit cette motivation pour avoir des résultats rapides ».
Parce que la motivation c’est bien, mais ça va, ça vient.
Contrairement à pas mal de coachs qui recommandent d’y aller progressivement, ici, je ne suis pas d’accord (et les résultats me donnent raison, non ?).
Pour Audrey, je voulais qu’elle puisse fournir les efforts nécessaires grâce à sa motivation bien présente au début, puis avoir des résultats observables rapidement pour prendre le relais quand le moral serait moins bon !
Si j’ai fait ce choix pour cette Championne, c’est aussi parce qu’il y avait une vraie question de santé derrière : elle portait 84 kilos de graisse, plus de 60 % de son poids !
Les lignes directrices étaient :
- Diminuer les calories et réapprendre à manger,
- Se faire plaisir, apprendre à jouer avec les aliments en cuisinant simplement,
- Accepter l’imperfection (ce qui était peut-être le plus dur pour ma Championne).
Je ne prône pas la nourriture parfaite, chacun doit trouver son propre équilibre en fonction de son propre contexte.
L’équilibre pour moi, c’est 80 % d’aliments non transformés, sains et 20 % de fun, de plaisir.
Comment faire une perte de poids extrême en respectant son corps ?
Éviter le relâchement cutané
J’ai insisté sur l’importance des protéines dans son alimentation, parce que c’est ce qui allait lui permettre de préserver la tonicité de sa peau même après une perte de poids de 60 kilos.
Au début, elle était en moyenne à 88 grammes par jour, il fallait augmenter petit à petit pour atteindre environ 117 grammes de protéine dans son cas.
Afin d’éviter les pans de peaux après une perte de poids importante et rapide comme celle-ci, je l’ai familiarisé avec la notion de vitesse maximale de perte de poids.
Dans son cas, elle était de 2 % maximum par semaine.
Dernier point pour se préserver du relâchement cutané : les exercices ciblés, je vous en parle juste après !
Se remettre au sport quand on est obèse : le programme d’Audrey
Quand on est seule, on veut des choses radicales, on se sent tellement mal dans sa peau qu’on veut absolument faire des trucs de fou.
Et ça, c’est là que viennent les risques de blessures et de découragement.
Plutôt que de faire dans la force et dans la douleur, je préfère proposer d’apprécier le processus et de faire du sport par plaisir (si, si, c’est possible) !
Dans un premier temps, je lui ai proposé un entraînement à la maison, sans matériel avec des exercices simples pour mobiliser l’ensemble du corps en toute sécurité malgré son obésité :
- Des pompes debout, inclinée en appuis sur une table
- Squat sur le canapé pour ne pas descendre en amplitude complète et préserver ses genoux
- Des exercices d’isolation avec élastique : sur les triceps en extension pour éviter le relâchement
- Le travail des adducteurs pour renforcer et tonifier, le travail des fessiers et du dos pour mieux soutenir son corps et dire au revoir aux plis cutanés qui la complexaient dans le dos.
Résultat : une perte en moyenne de 1 % de son poids du corps par semaine et Audrey a renoué avec le plaisir du sport, du dépassement de soi !
Et comme elle le confie dans son témoignage, au bout d’un an, elle se sentait tellement bien dans cette routine qu’elle a souhaité aller plus loin : s’entraîner à la salle de sport !
Nouveaux objectifs, nouveau programme.
D’abord sur des machines guidées le temps de prendre confiance lors de créneau où la salle était presque vide, des vidéos explicatives de chaque mouvement pour qu’elle ne se sente jamais seule et perdue (je suis toujours là pour mes Championnes !)
Elle savait ce qu’elle allait faire, pourquoi et surtout comment !
Et je sais de source sûre que sa vie aujourd’hui n’est plus la même…
Si comme elle, tu veux remettre du mouvement dans ton quotidien en te préservant des douleurs et blessures, fais-toi accompagner.
En particulier dans un cas de perte de poids extrême où il ne faut pas faire les choses à la légère.
La bonne nouvelle c’est que plus tu es lourde, plus tu dépenses d’énergie en bougeant : profite de cela pour commencer à prendre le chemin vers ton nouveau corps !
Alors, prête à pouvoir crier sur tous les toits « j’ai perdu 60 kilos sans chirurgie » ?